Mauvaises ondes


Les mauvaises ondes: Ondes radio ,relais Wifi, 3G, 4G, appareils électroménager...







Personne ne se souvient des décisions prises par le « Grenelle des ondes » qui s'est tenu en avril 2009. Et pour cause : la veille de son ouverture, le premier ministre avait innocenté a priori le pouvoir de nuisance des antennes relais. Après dix ans de polémiques, de publications douteuses sous influence des opérateurs et parfois dénoncées par l'Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS), il faut pourtant s'inquiéter : les ondes de nos portables, celles de leurs antennes relais ou celles du Wi-fi et du téléphone sans fil, auraient un effet néfaste sur notre système nerveux central. De multiples expériences sur le rat (dont l'ADN est très proche de l'homme) le démontreraient : les ondes favoriseraient le développement des tumeurs cancéreuses ou endommageraient les neurones.

Depuis dix ans, l'État et les opérateurs jouent pourtant la montre. Car c'est l'État qui a exigé de Bouygues, SFR et Orange qu'ils maillent, dans les années 1990, tout le territoire pour que chacun puisse téléphoner de son portable partout en France. Pour répondre à ce cahier des charges, les opérateurs ont donc placé 78 000 antennes sur le sol français. La plupart sont très puissantes, trop puissantes... Et il n'existe plus d'espace sans ondes.

Que fait l'Etat face aux plaintes des riverains ? A-t-il taillé des normes sur mesure pour les opérateurs ? Y a-t-il conflit d'intérêts au mépris de la santé des citoyens ?
Après « Du poison dans l'eau du robinet » (90 mn, France 3, 2010), son enquête sur l'eau polluée qui lui a valu en mars dernier le Prix de l'Investigation au FIGRA (Festival International du Grand Reportage d'Actualité et du Documentaire de Société), Sophie Le Gall s'attaque cette fois-ci à la plus puissante des industries, celle qui possède l'ensemble des canaux de communication, l'industrie de la téléphonie mobile. A l'aide d'analyses, de rapports, de témoignages inédits et de son ingénuité, Sophie Le Gall réalise une enquête implacable.

Alerte générale!

Sur son site, la journaliste Annie Lobé, auteure de La fée électricité: fée ou sorcière?, dénonce la nocivité des ondes à basses et hautes fréquences émises par les fluocompactes (potentiellement cancérogènes) et du mercure qu'elles contiennent. Et va jusqu'à suggérer, pour conclure, de "NE PAS utiliser ces ampoules basse consommation".

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/les-ampoules-basse-consommation-sont-elles-mauvaises-pour-la-sante_771537.html#oVyJ20e0elBfcwSK.

SANTE – Repoussée il y a un an, la proposition pourrait être finalement adoptée jeudi après avoir été amendée…

Comme par hasard, les contacts avec les lobbys des télécommunications se sont intensifiés ces dernières semaines. En l’avouant mercredi, les députés écologistes ont également assuré qu’ils n’avaient pas cédé d’un pouce sur le sujet. Car, ce jeudi, ils présentent une proposition de loi qui vise à plus de «sobriété» dans l’exposition aux ondes électromagnétiques.
Parmi les mesures, Laurence Abeille, la députée EELV qui porte le texte, entend faire interdire la publicité pour les téléphones portables auprès des mineurs de moins de 14 ans ou encore l’interdiction de faire installer des boîtiers wifi dans les écoles maternelles. Si la proposition est adoptée, l’installation d’antennes-relais devrait, elle aussi, être mieux encadrée.
>> Lire le témoignage de Céline, électrosensible

L’avis de l’Anses suivi

En ce sens, les députés écologistes ne font, finalement, que suivre l’avis rendu, le 16 octobre 2013 par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation et de l’environnement (Anses) qui avait estimé que les ondes n’avaient pas «d’effet avéré» sur la santé, tout en recommandant d’en limiter l’exposition aux enfants.
«Pour les opérateurs [auditionnés], il n’y a aucun risque donc aucune raison d’avoir une législation sur le sujet, a expliqué, mercredi Laurence Abeille. J’ai donc été soucieuse de les convaincre. Car pour moi, il est tout à fait possible de faire rimer innovation et protection».

Source: http://www.20minutes.fr/societe/1278278-20140122-ecolos-presentent-loi-limiter-limpact-ondes-electromagnetiques


Alerte générale!

Sur son site, la journaliste Annie Lobé, auteure de La fée électricité: fée ou sorcière?, dénonce la nocivité des ondes à basses et hautes fréquences émises par les fluocompactes (potentiellement cancérogènes) et du mercure qu'elles contiennent. Et va jusqu'à suggérer, pour conclure, de "NE PAS utiliser ces ampoules basse consommation".
Sa démonstration en vidéo:

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/les-ampoules-basse-consommation-sont-elles-mauvaises-pour-la-sante_771537.html#oVyJ20e0elBfcwSK.99

Les radiations sont potentiellement dangereuses à courte distance

En 2007, le Centre de recherche et d'information indépendante sur les rayonnements électro-magnétiques (Criirem, une association qui étudie les effets des ondes) mettait en évidence la pollution électromagnétique émanant des lampes fluocompactes (LFC), d'une intensité parfois supérieure à 28 volts par mètre, le seuil légal.
Saisie par l'Ademe, sous la pression d'industriels qui ont contesté la méthodologie employée, l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement (Afsset) a été chargée de mettre au point un protocole d'essais, publié début 2009 (ici en PDF).
"Nos mesures de l'époque sont toujours valables, assure-t-on au Criirem. L'Afsset et l'Ademe travaillent ensemble en ce moment et nous devrions avoir bientôt plus de précisions. Pour l'instant, on ne sait pas ce qui va être décidé pour minimiser cette pollution électromagnétique."
Le Criirem met par ailleurs en garde les possesseurs de pacemakers: c'est en effectuant des mesures sur une personne qui se plaignait des dysfonctionnements de son pacemaker que les membres du Criirem se sont aperçu que ce n'était pas l'antenne relais de téléphonie mobile en face de chez elle qui posait problème, mais les ampoules basse consommation chez cette personne...
Les recommandations:
Le Criirem n'est pas contre l'emploi d'ampoules fluocompactes, mais il déconseille de les utiliser sur les lampes de bureau et les lampes de chevet et partout où les lampes sont le plus souvent à moins d'un mètre des personnes. Pas question non plus de les adopter lorsqu'il y a des risques d'interférences (en particulier avec un pacemaker). En revanche, pas de problème lorsque l'ampoule se trouve la plupart du temps à deux, trois mètres des personnes, car "il ne se passe plus rien à cette distance".

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/les-ampoules-basse-consommation-sont-elles-mauvaises-pour-la-sante_771537.html#oVyJ20e0elBfcwSK.99

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