mercredi 19 avril 2017

Les populations rurales du Zimbabwe se tournent vers le biogaz

Les populations rurales du Zimbabwe se tournent vers le biogaz

By Sally Nyakanyanga

[HARARE] Au Zimbabwe, les habitants des zones rurales ont recours à une technologie simple qui permet de produire, à partir de la biomasse, une énergie propre, abordable et aisément accessible.

La Domboshava Community Development Association (Association de développement communautaire de Domboshava - DCDA), fondée en avril 2014 par des villageois, est l’une des associations communautaires ayant adhéré à cette initiative qui permet à ses membres de construire chez eux leur propre digesteur de biogaz pour produire de l’énergie.

Dans une interview accordée à SciDev.Net le 14 janvier dernier, Ian Makone, conseiller technique auprès de cette association, déclare que chaque membre de la DCDA épargne chaque mois 15 dollars (environ 9 000 FCFA) en vue de la construction de son digesteur de biogaz, dont le coût total s’élève à 600 dollars (630 000 FCFA).

"À travers cette initiative, chaque membre de la DCDA va disposer d’un digesteur à domicile. Depuis la naissance de notre association, nous avons pu construire 23 digesteurs pour 23 membres", poursuit Makone, qui indique par ailleurs que l’Association compte une trentaine de membres.

“Nous utilisons les déchets liquides issus des digesteurs de biogaz comme engrais organiques, ce qui rend la vie plus simple et moins coûteuse”

Nyasha Marimo

DCDA - Zimbabwe

En 2014, l’ambassade des États-Unis au Zimbabwe, à travers son programme Ambassador’s Special Self-Help, a versé environ 8 500 dollars (environ 5 100 000 FCFA) à la DCDA pour l’achat des matériaux de construction des digesteurs.


Ian Makone qui est lui-même entrepreneur en bâtiment, joue un rôle capital dans la construction desdits digesteurs.


"Le bois de chauffage se raréfie dans ce village et le biogaz nous a permis de faire face aux conséquences de cette pénurie", explique-t-il, relèvant au passage que ce programme favorise le développement communautaire.

SciDev.Net a observé les membres de cette communauté lors de la construction d’un digesteur de biogaz dans la localité de Parirehwa, à Domboshava, dans la province orientale du Mashonaland.

Les digesteurs de biogaz à dôme fixe sont des installations souterraines faites de briques, de ciment et de sable. Ils sont constitués d’une chambre d’entrée, d’une chambre d’expansion et d’un système d’évacuation pour les déchets liquides digérés.
Bois de chauffage
"Pour satisfaire leurs besoins énergétiques, la plupart des communautés rurales dépendent exclusivement du bois de chauffage; mais avec le biogaz nous pouvons utiliser des matières organiques aisément accessibles comme la bouse de vache, les déjections de porcs, de poulets et les déchets humains", explique Blessing Jonga, spécialiste du biogaz et consultant basé à Harare, au Zimbabwe.

D’après ce dernier, à ce jour, environ 300 ménages et institutions dans les zones rurales utilisent cette forme d’énergie au Zimbabwe.


L’Agence zimbabwéenne pour l’environnement (EMA) estime à 50 millions le nombre d’arbres abattus chaque année dans les forêts du pays.

"Pour satisfaire leurs besoins énergétiques, la plupart des communautés rurales dépendent du bois de chauffage, mais avec le biogaz, ce sont des matières organiques facilement accessibles qui sont utilisées", ajoute Blessing Jonga.

Nyasha Marimo, qui vit en milieu rural, explique à SciDev.Net que le biogaz produit par les digesteurs lui épargne de longues distances à pied pour ramasser du bois de chauffage.

"Nous utilisons les déchets liquides issus des digesteurs de biogaz comme engrais organiques, ce qui rend la vie plus simple et moins coûteuse", déclare-t-elle ; ajoutant que l’énergie ainsi produite sert au chauffage, à l’éclairage et à la réfrigération.
Avantages
La Rural Electrification Agency (Agence d’électrification rurale - REA) du Zimbabwe, dont la mission est d’assurer une distribution rapide et équitable de l’énergie en milieu rural, fournit du biogaz aux institutions, restaurants et ménages locaux.


Johannes Nyamayedenga, responsable des relations publiques de l’Agence, explique que le biogaz est respectueux de l’environnement, et constitue une source d’énergie durable.

Il annonce que dès cette année 2016, les restaurants de certaines communautés du pays pourront utiliser du biogaz fourni par la REA.

Quant à Blessing Jonga, il vante d’autres avantages issus de l’utilisation des digesteurs de biogaz.

"En milieu rural où la plupart des ménages n’ont pas les moyens de s’acheter des engrais chimiques, dit-il; le biogaz offre une option très propre sous forme d’engrais organiques".

Et de conclure : "jusqu’alors, les éleveurs de porcs avaient des difficultés à se débarrasser des déjections de leurs animaux et se retrouvaient constamment aux prises avec l’EMA. Or le digesteur se présente aussi comme une technologie de gestion de ces déchets".


Cet article a été publié à l'origine sur  SciDev.Net.

mardi 18 avril 2017

Des champignons pour remplacer le polystyrène

 Des champignons pour remplacer le polystyrène


Le "mushroom packaging" séduit les industriels. Après Dell, le suédois Ikéa envisage d'utiliser des matériaux biodégradables à base de champignon pour emballer ses meubles en kit.
Ces emballages fabriqués à partir de champignon peuvent remplacer le polystyrène.

COMPOST. Et si, au lieu de jeter vos emballages à la poubelle, vous pouviez les utiliser comme compost dans votre jardin ? Et bien c'est désormais possible ! La société américaine Ecovative a mis au point un matériau innovant à base de champignon. Biodégradable et moins cher que le polystyrène, il est déjà employé depuis 2011 par la société informatique Dell. Aujourd'hui, le géant suédois Ikéa annonce qu'il envisage lui aussi d'utiliser des matières biodégradables comme le champignon pour emballer ses meubles en kit.
Au delà du polystyrène, ce sont tous les emballages type mousse ou papier bulle qu'Eben Bayer, co-fondateur et PDG d'Ecovative, espère un jour remplacer par son "mushroom packaging". Son procédé de fabrication est simple et peu gourmand en énergie. Ecovative récupère des déchets végétaux issus de l'agriculture locale (paille, enveloppe de maïs...), y ajoute de l'eau et quelques nutriments puis mélange le tout avec du mycélium, la partie végétative qui permet au champignon de se nourrir. L'ensemble est placé dans des moules, et le champignon fait le reste... Au bout de quelques jours, le mycélium a consommé la matière végétale et rempli la totalité du moule. Pour finir, la mousse de champignon est chauffée afin de stopper la croissance du mycélium.

Un matériau biodégradable et moins cher que le plastique

Le matériau est constitué de mycélium de champignon, des filaments qui lui servent à se nourrir et dont la croissance est très rapide. © Ecovative.
POLLUTION. Alors que le polystyrène, fabriqué à partir du pétrole, ne disparaît dans la nature qu'après plusieurs milliers d'années, l'emballage à base de mycélium lui se décompose en seulement quelques semaines lorsqu'il est mélangé à la terre de votre potager. Une solution prometteuse sachant que les emballages sont une source considérable de pollution. Selon un rapport de la fondation Ellen MacArthur, ils représentent près d'un quart des 300 millions de tonnes de plastiques produites chaque année dans le monde, dont seulement 5% sont recyclés.

Enfoui dans le sol, l'emballage au champignon se décompose en quelques semaines seulement. © Ecovative.

lundi 17 avril 2017

Des sacs en plastique biodégradable à base d’amidon de manioc

Des sacs en plastique biodégradable à base d’amidon de manioc

By Rivonala Razafison et Philippe Malong


Dans la plupart des pays africains, l’heure aujourd’hui est à la recherche d’alternatives aux emballages en plastique non biodégradables qui sont devenus un véritable poison pour l’environnement.

Nombreux sont d’ailleurs les pays qui ont déjà pris des mesures d’interdiction de fabrication, d’importation, de commercialisation et d’utilisation de ce type d’emballage tant qu’ils n’ont pas plus de 50 ou 60 microns d’épaisseur.

En réponse à ces mesures, des chercheurs se sont mis à l’œuvre pour trouver des solutions pour une fabrication d’emballages biodégradables à partir des ressources locales. C’est le cas à Madagascar et au Cameroun.

Le 12 février 2016, Hery Rajaonarimampianina, le chef de l’Etat malgache s’est rendu sur le site industriel de GasyPlast, une entreprise 100 % malgache qui produit des emballages en plastique biodégradable à partir de l’amidon de manioc.

A cette occasion, l’on a appris que ces sacs, solubles dans de l’eau à 80°C, se ramollissent dans de l’eau froide et se réduisent en cendres à l’épreuve du feu.

Qualifiés d’"inoffensifs pour la biodiversité et les écosystèmes", ils disparaissent dans la nature au bout de trois à six mois.


Adapté à un usage multiple (sacs de course, tabliers jetables, sacs pépinières, sacs à blanchisserie, sacs à poubelles…), ils gagnent en popularité dans des milieux comme les hôpitaux, les écoles, les restaurants, les cantines…


"Notre idée a germé dans le cadre du transfert de technologies avec nos partenaires asiatiques", confie à SciDev.Net Christina Andriantsialonina, responsable sac biodégradable chez GasyPlast.

“La production de sacs bio relève d’initiatives combinant à la fois les stratégies locales et les exigences globales condensées dans les ODD”

Roger Ranaivoson

Département de Recherches technologiques, FOFIFA - Madagascar


A en croire l’entreprise, ce produit est actuellement exporté et vendu en Corée du Sud, en Malaisie, en Inde, en Indonésie, en Chine, à l’île Maurice, au Nigeria, au Mozambique et en Afrique du Sud.

"Le volume à atteindre sera de 360 tonnes cette année et d’un millier de tonnes dans trois ans", annonce d’ores et déjà Ny Riana Raharimanjato, président directeur-général de GasyPlast.

Pour cela, "notre plan d’action prévoit déjà des plantations à grande échelle en collaboration avec les paysans. La création d’emplois ainsi consolidée profitera à l’agriculture, la base même de notre économie", soutient Christina Andriantsialonina.

Pendant ce temps, au Cameroun, le chercheur Jean Aimé Mbei du laboratoire de chimie inorganique de l’université de Yaoundé I expérimente depuis trois ans la possibilité d’obtenir lui aussi du plastique à base d’amidon de manioc.

Les résultats de ses recherches ont débouché sur un produit biodégradable auquel il associe actuellement de la Kaolinite, le silicate naturel d’aluminium dont est formée l’argile blanche qui sert à la fabrication de la porcelaine.

D’après ses explications, l’ajout de la kaolinite vise à renforcer par une charge minérale, la structure de l’amidon.

Car, indique-t-il, "le problème de l’amidon de manioc est sa sensibilité à l’eau. Ce produit se déforme facilement au contact de l’eau et ses résistances mécaniques ne sont pas les plus flatteuses".
Solidité
Roger Ranaivoson, un expert en biotechnologie à Madagascar, renchérit en disant que l'amidon à base de fécule de manioc ou de maïs contient de l’amylose et de l’amylopectine.

"Ces types de sucre se dissolvent facilement au contact des microorganismes, d’où leur caractère dégradable", précise celui qui est aussi le chef de département de recherches technologiques au Centre national de recherche appliquée au développement rural (FOFIFA) à Madagascar.

Ainsi l’association de l’argile que fait le chercheur camerounais apporte plus de propriétés mécaniques au plastique qui est élaboré ; ce qui augmente sa solidité.

La destination première de ces plastiques à base d’amidon étant l’emballage direct des produits alimentaires, Jean Aimé Mbei affirme qu’il faut encore des tests sur des possibilités ou des risques de contamination ; car, au-delà de la sensibilité à l’eau, il peut exister un problème de diffusion des fluides ou des gaz.

Comme à Madagascar, l’on pense au Cameroun que de telles initiatives sont susceptibles d’apporter un nouveau souffle à la culture du manioc.

"L’utilisation des produits comme l’amidon de manioc dans la fabrication du plastique relève de la valorisation des sous-produits d’origine végétale", analyse Hyppolyte Ntede du laboratoire de mécanique des matériaux de l’Ecole nationale supérieure polytechnique de l’université de Yaoundé I.
Objectif du développement durable
Roger Ranaivoson va encore plus loin en disant que la production de sacs bio relève d’initiatives combinant à la fois les stratégies locales et les exigences globales condensées dans les Objectifs du développement durable (ODD).

Toutefois, pour ce qui est de l’approvisionnement, ce dernier met en garde contre la difficulté de contracter avec les paysans malgaches en raison de l’insuffisance de leurs productions et de l’éparpillement de leurs exploitations ; ce qui, dans ce dernier cas, poserait un problème de collecte.

Il conseille dès lors aux promoteurs de tels projets de disposer de leurs propres champs de production de manioc pour se garantir un approvisionnement constant.

En effet, pour le moment, le producteur malgache reste tributaire en grande partie des importations provenant d’Asie pour les intrants nécessaires.

Car, avec 6 à 7 tonnes à l’hectare (t/ha), la production de manioc à Madagascar est faible, en comparaison par exemple aux 45 à 50 t/ha du Nigeria.

"En revanche, notre pays possède d’énormes potentiels", relativise Roger Ranaivoson qui rappelle au passage qu’une variété à haut rendement (25 t/ha) avait été introduite à Madagascar dans les années 1980 et 1990 grâce à l’International Institute for Tropical Agriculture (IITA, Nigeria) sans cependant être vulgarisée.

“La pollution des rues par les déchets solides tels que les matières plastiques est un problème de comportements irresponsables, qui devrait être abordé par le changement des habitudes des gens, plutôt que par la modification des produits qu'ils jettent”

William Lemnyuy,

Ministère de l'Environnement - Cameroun


A Yaoundé, les travaux d’Hyppolyte Ntede portent plus généralement sur la possibilité d’exploiter les matières premières végétales pour lutter contre la pollution causée par les plastiques non biodégradables.

A l’en croire, "l’un des avantages de cette démarche est l’obtention d’un type de plastiques qui, lorsqu’ils sont arrivés en fin de cycle de vie, restituent le carbone qu’ils contiennent sous forme de dioxyde de carbone qui est réutilisé par les plantes au cours de la photosynthèse".

Selon les estimations de l’Institut national de la statistique (INS) du Cameroun, les matières plastiques représentaient en 2010 en moyenne 10 % des déchets solides produits dans le pays, déchets alors évalués à 11 643 tonnes par jour.

Dans le même temps, une enquête menée en 2011 par le ministère de l'Environnement, de la protection de la nature et du développement durable (MINEPDED) nous apprend que 58% des Camerounais se débarrassent dans les rues de leurs emballages plastiques après utilisation, tandis que 22% les confient aux pré-collecteurs, alors que 20% les brûlent.

L’usage des sacs en plastique bon marché est en effet si ancrée dans les habitudes des Camerounais que son importation par contrebande puis son utilisation se poursuivent en dépit de l’interdiction (2011) suivie de 18 mois de sensibilisation, puis de campagnes de saisie et de destruction de stocks.
Pas une panacée
Aujourd’hui, la stratégie du MINEPDED consiste à encourager la vente des emballages en plastique plus épais et plus couteux ; les moins épais à usage unique étant ceux qui jonchent les rues.

Une réalité qui fait dire à William Lemnyuy, sous-directeur de la gestion des déchets des produits chimiques, toxiques et dangereux au MINEPDED, que les plastiques biodégradables ne devraient pas être considérés comme une panacée.

"Les plastiques biodégradables sont des matériaux intéressants et utiles, mais ils ne doivent être utilisés que lorsqu’ ils ont un avantage concret pour un produit spécifique", dit-il.

Avant de conclure : "la meilleure façon d'aider à sauver la planète est d'économiser l'énergie et améliorer les moyens de recyclage et de récupération de tous les plastiques. La pollution des rues par les déchets solides tels que les matières plastiques, est fondamentalement un problème de comportements irresponsables, qui devrait être abordé par le changement des habitudes des gens, plutôt que par la modification des produits qu'ils jettent".

This article was originally published on SciDev.Net. Read the original article.

dimanche 12 février 2017

La Cause Réelle de la Stérilité

La stérilité peut être définie de deux façons : une incapacité à concevoir après des années de rapports sexuels non-protégés, ou la répétition de grossesses extra-utérines, de fausses couches et de pertes périnatales. Les facteurs spécifiques aux hommes et aux femmes représentent 30% des causes de la stérilité (individuellement) ; la combinaison de causalité des hommes et des femmes conduit à 20% additionnels, et les 20% restants sont causés par des origines incertaines.
Lorsque l’on souffre de stérilité, il est important de se référer strictement au traitement, car il est tout aussi important que vous connaissiez la cause racine de votre stérilité. Dans cet article, vous trouverez un large aperçu des causes probables de la stérilité.
Pourquoi est-ce si important de déterminer les causes ?
La stérilité peut être causée à cause d’une multitude de facteurs à la fois, ou peut être le résultat de la déviance de sa trajectoire initiale par un certain facteur. Comme les erreurs de diagnostics peuvent souvent conduire à des complications futures de fertilité, les réelles premières étapes concernant le traitement et la guérison dépendent vraiment de l’identification de la cause racine dès le début du traitement.
Les grandes causes de la stérilité chez les femmes sont listées de la façon suivante :
• Anovulation : Chez les femmes, les problèmes ovulatoires sont les causes les plus fréquentes de la stérilité. Le fait de ne pas réussir à ovuler est dû à un certain nombre de facteurs :
• Le déséquilibre hormonal est la cause la plus fréquente d’anovulation ; lorsque les ovaires produisent des ovules immatures, la grossesse devient impossible.
• Les femmes avec des ovaires polykystiques souffrent d’une diminution de la sécrétion de FSH et d’une augmentation de sécrétion de LH et de testostérone ; donc le syndrome des ovaires polykystiques peut conduire à l’anovulation chez les femmes.
• Approximativement 20% des cas de stérilité sont dus au mauvais fonctionnement de l’hypothalamus, la glande qui contrôle les stimulants hormonaux, conduisant à des ovules immatures. L’hypophyse est responsable de la régulation de LH et de FSH, et son mauvais fonctionnement produit des ovules immatures.
• Les dommages dans les ovaires causés par des antécédents d’opérations chirurgicales, les kystes ovariens, les tumeurs et les infections peuvent conduire à la production d’ovules immatures.
• La ménopause prématurée et les problèmes folliculaires sont également responsables de l’anovulation.
• Le mauvais fonctionnement des trompes de Fallope : les infections virales et bactériennes des trompes de Fallope sont les causes primaires de leur mauvais fonctionnement.
L’appendicite et la colite sont des problèmes abdominaux qui conduisent au blocage des tubes de Fallope. Les dommages des tubaires peuvent également être provoqués par des antécédents d’opérations chirurgicales, qui rendent les trompes incapables de faire passer les ovules. La grossesse extra-utérine qui se produit dans les trompes est une menace potentielle pour la vie qui cause également des dommages tubaires. Des défauts congénitaux des trompes sont rares, mais pas impossibles à lier avec les causes de la stérilité.
• Prise de drogues : Fumer, boire et consommer d’autres drogues est connu pour diminuer les chances de tomber enceinte.
• Les problèmes du système immunitaire : Ce problème inclut les réactions auto-immunes du corps et la création d’anticorps anti-spermatozoïdes qui exterminent les spermatozoïdes. Des cellules tueuses naturelles, qui lorsqu’elles sont présentes en excès, peuvent endommager l’embryon présent dans l’utérus. La présence d’anticorps anti-spermatozoïdes dans le corps de la femme tue tous les spermatozoïdes avant qu’ils ne puissent fertiliser l’ovule.
Bien que les causes de la stérilité soient nombreuses, il est plutôt simple de les traiter, en particulier lorsqu’elles sont diagnostiquées dans les premiers stades. Utiliser une approche non conventionnelle, comprenant des médicaments prescrits, suivre un régime alimentaire sain, pratiquer régulièrement de l’exercice, ne pas boire, ne pas fumer ou ne pas consommer d’autres drogues, gérer le stress effectuer de l’acupuncture, etc. garantit des résultats positifs. En raison de sa complexité et des facteurs multiples de la stérilité, le problème peut être résolu de façon permanente grâce à une approche non conventionnelle, n se concentrant sur les causes racines de cet état, plutôt que de se concentrer sur les éléments déclencheurs spécifiques.

Cet article est basé sur l’eBook de « Le Miracle de la Grossesse » écrit par Lisa Olson. Lisa est une auteure, chercheuse, nutritionniste et professionnelle de la santé qui a dédié sa vie à créer la solution ultime de grossesse garantissant le traitement permanent de la cause de la stérilité, vous aidant ainsi à tomber rapidement enceinte et à considérablement améliorer naturellement la qualité de votre vie, sans avoir recours à des médicaments sur ordonnance ou à des opérations chirurgicales. Apprenez-en plus en visitant son site web